Le départ de la gloire

L’idolâtrie dans le Temple

Le cinquième jour du sixième mois de la sixième année[a], j’étais assis chez moi et les responsables du peuple de Juda étaient assis devant moi. Soudain, la main du Seigneur, l’Eternel, tomba sur moi.

Je regardai et je vis un être qui ressemblait à un homme[b]. En dessous de ce qui semblait être ses reins, c’était comme du feu, et au-dessus, il y avait comme l’éclat d’un métal.

Cet être tendit une forme de main et me saisit par une mèche de mes cheveux, et l’Esprit me souleva entre ciel et terre et me transporta dans une vision divine à Jérusalem, à l’entrée de la porte du parvis intérieur du Temple, celle qui est tournée vers le nord, où se trouve la statue de la provocation, celle qui provoque l’Eternel qui ne tolère aucun rival[c].

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Footnotes

  1. 8.1 C’est-à-dire en septembre 592 av. J.-C.
  2. 8.2 à un homme : d’après l’ancienne version grecque et le contexte. Le texte hébreu traditionnel a : à un feu. Les mots homme et feu se ressemblent en hébreu.
  3. 8.3 La statue de quelque idole étrangère (voir Ex 20.5), peut-être celle de Tammouz (v. 14) ou d’Ashéra que Manassé avait dressée dans le Temple (2 Ch 33.7 ; 2 R 21.7).